Littérature française

/LITTÉRATURE FRANÇAISE
COURS D’AGRÉGATION
Villon
Nathalie Koble
Mardi, 10h30-12h30 - premier cours : 22 septembre 2020
Cours réservé aux agrégatifs
Casanova, Histoire de ma vie (préparation à l’oral) [S2]
Jean-Charles Darmon
Cours réservé aux agrégatifs
Mauprat, de George Sand [S1-S2]
Thomas Conrad
Cours réservé aux agrégatifs.
PREMIER SEMESTRE
Traduire la Dame à la Licorne et le Beau Chevalier au Lion. Cours d’inititiation et de perfectionnement à la langue médiévale
Nathalie Koble
S1, Lundi, 10h30-12h30, salle CELAN - premier cours : 21 septembre 2020
6 ECTS (Validation : contrôle continu : traduction en équipe des insertions lyriques que s’échangent les amants du roman)
Le cours commencera par une introduction à la naissance du français comme langue d’écriture et sera consacré à l’étude de la littérature médiévale dans ses contextes : manuscrit, linguistique, historique, culturel et poétique. L’œuvre médiévale, mouvante, s’inscrit dans une tradition que chaque version manuscrite soumet à déplacement et réinvention. Dans le prolongement de l’an passé, l’atelier s’attachera à la lecture d’une fiction amoureuse du XIVe siècle dont la traduction en français est encore inédite, la Dame à la Licorne et le Beau Chevalier au Lion, roman d’éducation sentimentale, manuel à la fois critique et ludique des jeux de rôle courtois pour les hommes et les femmes. Le texte permettra d’engager une réflexion sur la courtoisie et ses modèles d’écriture, romanesques et poétiques. NB : le cours est ouvert à tous les élèves et étudiant.e.s de l’ENS (y compris aux élèves de la Sélection internationale et aux pensionnaires étrangers/ères intéressé.e.s).
Figurations du libertinage au XVIIe siècle en France, d’un genre à l’autre
Jean-Charles Darmon, S1, vendredi, 14h-16h, salle CELAN, 1er cours : 25/09/2020 ; 6 ECTS
Mouvements littéraires européens : Mallarmé et le symbolisme européen
Dominique Combe
S1, Jeudi, 16h-18h, hebdomadaire, salle CELAN, à partir du 24 septembre 2020
6 ECTS (Validation : travail personnel écrit ou oral)
Tronc commun du Master “Littératures” ; ouvert sur inscription et dans la limite des places disponibles aux étudiants des autres parcours ENS/PSL et du DENS.
La publication des Fleurs du mal, en 1857, a marqué la naissance à Paris de la “poésie moderne” qui, selon le critique Hugo Friedrich, prend “une dimension européenne”. Dans les années 1880, Mallarmé réunit dans son salon, rue de Rome, poètes et artistes venus de Bruxelles, de Londres, de Berlin ou de Vienne, qui contribuent à la diffusion du mouvement symboliste à travers l’Europe et au-delà. Dans la filiation de Baudelaire, le recueil des Poésies, le poème visuel Un Coup de dés, mais aussi les proses critiques et théoriques de Divagations jouent un rôle décisif dans le renouvellement de la poésie et la naissance des avant-gardes en Europe au tournant du siècle.
Texte de référence :
Mallarmé, Poésies et autres textes, édition D.Leuwers, Livre de poche, 1998
Autres textes :
M. Décaudin, Anthologie de la poésie française du XIXe siècle, II – de Baudelaire à Saint-Pol Roux, Poésie/Gallimard, 1992
Apollinaire, Alcools (1913), Livre de poche, 2014
Baudelaire, Les Fleurs du mal (1857), Livre de poche, 1992 ; Le Spleen de Paris (Petits poèmes en prose) (1869), Livre de Poche, 2003
Claudel, Cinq grandes Odes (1910), Poésie/Gallimard, 1975 ; Connaissance de l’Est (1900), Poésie/Gallimard, 1974
Corbière, Les Amours jaunes (1873), Livre de poche, 2003
Laforgue, Les Complaintes (1885), Poésie/Gallimard, 1991
Lautréamont, Les Chants de Maldoror (1869), Poésie/Gallimard, 1973
Rimbaud, Poésies – Une saison en enfer – Illuminations, Poésie/Galimard, 1999
Verlaine, Fêtes galantes, Romances sans paroles, Poèmes saturniens, Poésie/Gallimard, 1973
Valéry, La Jeune Parque (1917), Poésie/Gallimard, 1974 ; Poésies (1929), Poésie/Gallimard, 1976
T.S. Eliot, La Terre vaine (1922), trad. fr., Points/Seuil, 2014
H. von Hofmannsthal, Lettre de Lord Chandos (1902), trad.fr., Poésie/Gallimard, 1992
M. Maeterlinck, Serres chaudes (1889), Poésie/Gallimard, 1983
E.Nelligan, Poésies complètes (1902), La Table ronde, 1998
R.-M. Rilke, Elégies de Duino – Sonnets à Orphée (1923), trad. fr., Poésie/Gallimard, 1994 ; Vergers – Quatrains valaisans (1926), Poésie/Gallimard, 1978
G. Rodenbach, Bruges-la-Morte (1892), Garnier-Flammarion, 1998
G. Ungaretti, Vie d’un homme – Poésie 1914-1970, trad. fr., Poésie/Gallimard, 1973
E. Verhaeren, Les Campagnes hallucinées (1893), Les Villes tentaculaires (1895), Poésie/Gallimard, 1982
W.B. Yeats, Quarante-cinq poèmes, trad. fr., Poésie/Gallimard, 1993
Cinq poètes russes du XXe siècle (Blok. Akhmatova. Mandelstam. Tsvétaïéva. Brodsky, présentation et choix de Jean-Baptiste Para, Poésie/Gallimard, 2007.
Approches du récit
Thomas Conrad, avec Philippe Roussin (EHESS/CNRS) ; S1, lundi, 16h-18h, salle CELAN ; 1er cours : 21/09/2020
Ce cours entend introduire et discuter les questions vives des théories du récit. Depuis la narratologie française des années 1960-1970 jusqu’au “narrative turn” des dernières décennies, l’étude du récit s’est profondément modifiée, élargie et enrichie. On en discutera les apports, autour des questions-clefs du narrateur, du personnage, du point de vue, du témoignage, etc. Il ne s’agira pas (pas seulement) de s’équiper d’« outils » d’analyse du récit, mais d’interroger la pertinence de ces catégories, leur histoire, leurs ambiguïtés. Une conviction : l’étude du récit n’est pas une question purement technique, mais l’exploration d’un domaine de la pensée humaine.
SECOND SEMESTRE
Mémoire de la littérature médiévale : le récit court, court (XIIe-XVe siècle, et au-delà). Cours d’initiation et de perfectionnement
Nathalie Koble
S2, Jeudi, 10h30-12h30, salle en attente - premier cours : 21 janvier 2021
6 ECTS (Validation : travaux sur corpus : manuscrits, traductions, ouvrages critiques, adaptation, création)
Dans La lettre et la voix, ouvrage de référence consacré à la littérature du Moyen Age (1987, Seuil), Paul Zumthor entourait de guillemets le mot littérature : La « littérature » médiévale fut l’œuvre de la voix, non de la lettre : ce n’était donc pas une « littérature », encore moins une « écriture » ou un « texte », nous dit-il. Ce retour distancié sur la définition de ce qu’est la littérature, son histoire, son émergence et les présupposés qui fondent nos études littéraires fut crucial, et reste aujourd’hui fondamental, à l’heure des humanités numériques. La littérature médiévale – ses matières, ses poétiques, ses ateliers, ses lieux de diffusion, sa réception, ses usages – était fondée sur une institution et un art : la mémoire, dont la voix, mais aussi le geste et l’image, étaient les véhicules privilégiés. Une circulation diffuse, multiple, multimédiale et multilingue, caractérise la vie des corpus de fiction au Moyen Age. Les genres de récit bref (lai, conte, nouvelle, vie de saint.e ou de poète, dit, fabliau, etc.) amplifient cette dynamique de mise en réseau, que les recueils manuscrits rendent à leur tour sensibles. Le séminaire s’attachera cette année, dans le sillage d’une expérience inédite de récriture contemporaine du Décaméron de Boccace, spécifiquement à la mémoire de ces récits brefs, qui pallient leur brièveté par la mise en œuvre de stratégies mémorielles, et trottent encore dans nos têtes. Le cours s’ouvrira le 13 mars 2020 sur une journée d’étude et un exposition dans la salle historique de la Bibliothèque des Lettres : « Ut musica poiesis », organisée dans le cadre du séminaire collectif « Le Moyen Age pour laboratoire : l’invention théorique de la littérature médiévale ». NB : ce cours est validable dans le cadre du Diplôme de l’ENS, du parcours de Master "Littératures : théorie, histoire", et dans celui du Master d’Etudes médiévales cohabilité ; il est accessible à tous les étudiant.e.s de PSL sans prérequis.
Le Moyen Age pour laboratoire. L’invention théorique de la littérature médiévale
Nathalie Koble, avec Amandine Mussou et Florent Coste
S2, Jeudi, 16h30-19h, salle U209 (29 rue d’Ulm) ; 1er cours : 28/01/2021 ; 8 séances : 28/01, 11/02, 04/03, 18/03, 08/04, 15/04, 06/05, 13/05.
Séminaire de recherche, dans le sillage du numéro « Le Moyen Âge pour laboratoire » (Fabula LHT, n°20, http://www.fabula.org/lht/20/). Pour le programme, voir le carnet d’hypothèses : medielab.hypotheses.org
Lire les pensées : la psychologie dans le roman (XIXe-XXe s.)
Thomas Conrad
S2, mercredi, 14h-16h, salle CELAN ; 1er cours : 20/01/2021
Abordons le roman français du XIXe siècle non pas par son versant réaliste – cartographie balzacienne de l’univers social, enquêtes documentaires de Zola, représentation de l’Histoire – mais par la question de l’intériorité des personnages. « Ils n’en ont pas », aurait-on répondu sèchement il y a quelques décennies. Les lecteurs s’y intéressent pourtant, à cette intériorité factice : la raconter et l’analyser fut même le rôle du roman sentimental et du roman psychologique. Mais que veut dire, pour un romancier, s’intéresser à la « psychologie » de ses personnages ? Et y a-t-il d’ailleurs des romans qui ne soient pas en un sens ou un autre des romans « psychologiques » ? Et ne trouve-t-on pas de la psychologie même chez les auteurs qui s’y opposent le plus ? Pour débrouiller ces questions, on examinera trois moments où le roman psychologique et « anti-psychologique » s’opposent ou se croisent : 1° le moment romantique et réaliste (Benjamin Constant, Stendhal, Balzac) ; 2° le moment naturaliste (Zola, Bourget) ; 3° le moment formaliste (Robbe-Grillet, Sarraute, Duras, jusqu’au « retour du sujet » dont nous sommes contemporains).
Poétiques de la Négritude
Dominique Combe
Cours Master 2 « Littératures », ouvert aux étudiants des autres parcours ENS/PSL et DENS, sur inscription et dans la limite des places disponibles ; S2, jeudi, 16h-18h, salle CELAN, à partir du 21 janvier 2021 ; validation : travail personnel oral ou écrit (6 ECTS)
Le mot « négritude », inventé à Paris par Césaire et Senghor dans les années 30, s’est imposé après la publication du Cahier d’un retour au pays natal, en 1939. En 1948, Senghor publie une Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache de langue française, accompagnée d’une préface retentissante de Sartre, « Orphée noir », qui place la poésie sous le signe du « racisme antiraciste » et du combat anti-colonialiste. Les auteurs francophones d’Afrique subsaharienne, de Madagascar et des Antilles réunis par Senghor sont représentatif de la diversité et de la richesse du mouvement international de la négritude. Le cours étudiera les enjeux poétiques, philosophiques et politiques de ce mouvement, à travers l’analyse de poèmes de l’anthologie, qui seront replacés dans l’histoire transnationale de « l’Atlantique noir », entre l’Europe, l’Afrique et les Amériques.
Texte de référence :
SENGHOR Léopold Sédar , Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache de langue française, précédée d’ « Orphée noir » par Jean-Paul Sartre (1948) réédition PUF, « Quadrige », 2015.
Textes à lire :
CESAIRE Aimé, Cahier d’un retour au pays natal, Paris, Présence africaine, 1986.
DAMAS Léon-Gontran, Pigments, Névralgies, Présence africaine, 1972.
FANON Frantz, Peau noire, masques blancs (1952), rééd. Seuil, « Points », 2015.
SENGHOR Léopold Sédar, Poèmes, Paris, Seuil, 1964, rééd. « Points ».
Littérature et philosophie
Dominique Combe, avec Jean-Charles Darmon
S2, Lundi, 16h-18h, hebdomadaire, salle CELAN ; 1er cours : 18/01/2021
6 ECTS (Validation : travail personnel écrit ou oral)
Cours tronc commun du Master “Littératures”, ouvert sur inscription aux étudiants des autres parcours ENS/PSL et du DENS dans la limite des places disponibles.
1. Jean-Charles Darmon : La Fontaine
2. Dominique Combe : Yves Bonnefoy, poésie et philosophie
Etudiant de Gaston Bachelard et de Jean Wahl à la Sorbonne, Yves Bonnefoy (1923-2016) entre en poésie après-guerre sous le signe du surréalisme, mais aussi de la philosophie de Platon, Plotin, Hegel et Kierkegaard. Le volume des Poèmes (1978) s’ouvre ainsi sur un poème en prose intitulé “Anti-Platon” (1947), qui fait écho aux essais dédiés à “l’’improbable, c’est-à-dire ce qui est” et à un “grand réalisme”. En exergue à Du mouvement et du l’immobilité de Douve, Bonnefoy place une phrase de la Phénoménologie de l’Esprit. Essayiste, historien et critique d’art, traducteur, professeur au Collège de France, Bonnefoy dénonce le “leurre” du concept pour faire de la poésie une voie d’accès à la “présence”.
Textes de référence :
- Poèmes (1978), Poésie/Gallimard, 1982
- L’Improbable (1959) et autres essais, Gallimard, Folio essai, 2002
- L’Arrière-pays (1972), Poésie/Gallimard, 2005.
Séminaire « Passions et émotions à l’âge classique, entre philosophie et littérature : le discours des passions »
Jean-Charles Darmon (USR République des savoirs/CRRLPM) et Dan Arbib (Département de philosophie, USR République des savoirs/Mathesis) ; S2, jeudi, 10h-12h, salle CELAN ; 1er cours : 28/01/2021 ; 6 ECTS
2020-21 (S2) : « Le discours des passions ».
On assiste depuis quelques années à un regain d’intérêt considérable pour l’étude des émotions et des passions aussi bien du côté de la philosophie contemporaine (et de l’histoire de la philosophie) que du côté des études littéraires. L’objet de ce séminaire est de revisiter de ce point de vue des œuvres majeures ou d’autres, aujourd’hui fort méconnues, de l’âge classique. En confrontant des corpus et des genres trop rarement mis en relation par les « spécialistes » des disciplines dont ils relèvent habituellement, on examinera plus spécifiquement cette année différents types de discours et de figurations auxquels passions et émotions ont donné lieu, entre philosophie et littérature.
Le lien permettant d’assister aux séances sera communiqué ultérieurement aux participants inscrits.
28 janvier : Charles-Olivier Stiker-Metral : discours du "moraliste" et traité des passions (à propos de La Rochefoucauld)
4 février : Laurence Devillairs : Fénelon et les passions
4 mars : Nadeije Laneyrie-Dagen : physiognomonie, passions et discours sur la peinture
11 mars : Benedetta Papasogli : passions et "amour pur" (à propos des Peintures morales de Le Moyne)
25 mars : Annie Bitbol-Hespériès, Passions et discours médical
1er avril : Anne Régent : Passions et rhétorique (Bossuet)
8 avril : Bernard Pautrat : Spinoza : les passions en géomètre
15 avril : Gilles Olivo : Descartes : les passions en physicien
6 mai : Christian Belin : A propos de De l’Usage des passions de Senault
Séminaire « Littérature et morale à l’âge classique » : formes littéraires et ressources de la pensée morale
Jean-Charles Darmon (USR République des savoirs/CRRLPM), Emmanuel Bury (Université de Paris Sorbonne/CELLF, membre associé du CRRLPM) et Charles-Olivier Stiker Metral (USR République des savoirs/CRRLPM) ; S2, jeudi, 16h-18h, en visioconférence ; 1er cours : 04/02/2021 ; 6 ECTS
Le propos de ce séminaire s’inscrit dans une enquête sur l’histoire des relations entre formes littéraires et pensée morale poursuivie par le Centre de recherche sur les relations entre Philosophie, littérature et morale. Il s’agira notamment d’y réexaminer les usages et les effets de diverses formes littéraires en s’interrogeant sur les types d’expérience morale et de questionnements axiologiques auxquels elles furent liées, entre l’héritage des modèles de Sagesse antiques et l’émergence d’anthropologies nouvelles dans l’Europe de la Première Modernité.
Lien vers les séances :
https://us02web.zoom.us/j/86979475331?pwd=S09oczdRUUFKSVdzSHZjRVY5VHBDQT09
Programme des séances :
04/02 : Justine Le Floc’h « Masculinités colériques et belles irritées : le double standard de la colère au XVIIème siècle »
11/02 : Charles-Olivier Stiker Metral : « Formes et procédures du jugement dans les Caractères de La Bruyère »
04/03 : Benjamin Bokobza : « Paresse et civilité selon Antoine de Courtin »
18/03 : Pierre Lyraud : « Pascal. Vie sociale et imitation »
15/04 : Philippe Chométy : « Poésie des origines et origines de la poésie entre Age baroque et Lumières : quels enjeux moraux ? »
03/05 et 10/05 : Exposés oraux proposés par des étudiants inscrits au séminaire
Balzac en perspective. Séminaire de recherche
Thomas Conrad
S1-S2, vendredi, 10h-12h30, salle des ACTES (sauf le 11/12/2020 en salle Paul LANGEVIN) ; 1er cours : 23/10/2020.
3 ECTS (pour les 6 séances de l’année)
Interuniversitaire, interdisciplinaire, ce séminaire de recherche entend non pas tant « contextualiser » l’œuvre balzacienne, que lui poser des questions d’ordre historique, philosophique, ou poétique, qui ne soient pas spécifiquement balzaciennes, afin de permettre précisément de définir la spécificité de Balzac parmi ses contemporains. On explorera le XIXe siècle à partir de Balzac, et vice-versa. On interrogera cette année la notion de « circonstances », dans ses ramifications narratives, éditoriales, juridiques, et morales. Le mot cynique de Vautrin, « il n’y a pas de lois, il n’y a que des circonstances », est-il la formule du roman du XIXe siècle ?
Dates des séances : 23 octobre, 20 novembre, 15 janvier, 26 mars, 28 mai.
Médiévie : actualités de la recherche en langue et littérature médiévales
Nathalie Koble
S1-S2, Lundi, 16h-18h, par quinzaine, espace recherche Lettres, salle LETTRES 1 (45 rue d’Ulm) ; 1ère séance : date en attente
Séminaire annuel de recherche réservés aux médiévistes.